
La vocation des REDP est de constituer un lieu de rencontre et de partage autour de l’enseignement de la physique, à tous les niveaux et selon toutes les approches et toute les déclinaisons. Elles proposent de renforcer des échanges, souvent trop rares, entre physiciens dont l’activité d’enseignement est centrale, chercheurs en didactique de la physique et enseignants de tous niveaux (y compris primaire et secondaire).
Les Rencontres Enseignement et Didactique de la Physique articulent communications orales, posters, conférences invitées et tables rondes. Une session sera consacrée à l’enseignement du non-linéaire, ses enjeux et ses perspectives ; trois sessions seront consacrées respectivement à l’enseignement et la didactique de la physique à l’école primaire (maternelle et élémentaire), à l’enseignement secondaire et à l’enseignement supérieur ; enfin, une session sera consacrée à l’adaptation de la première année de licence aux nouveaux bacheliers.
Les REDP accueilleront des communications en didactique de la physique, sur les perspectives éducatives, les obstacles épistémologiques courants dans l'enseignement de la physique, la démarche d’investigation, les enjeux pédagogiques de l’histoire de la physique, la vulgarisation de la physique, la physique à l’école primaire, dans le secondaire, l’enseignement professionnel, l’enseignement supérieur, les programmes, retours d’expérience, innovations pédagogiques, etc. » Les propositions des doctorants, aussi bien en physique qu’en didactique, sont particulièrement encouragées.
REDP1 Enseigner la physique dans le supérieur |
Christophe Daussy (LPL, Université Sorbonne Paris Nord) et Estelle Blanquet (LACES, INSPE de l’Académie de Bordeaux) |
REDP2 Enseigner la physique au collège et au lycée |
Isabelle Kermen (CREAD, INSPE de Bretagne) |
REDP3 Enseigner la physique à l'école primaire |
Estelle Blanquet (LACES, INSPE de l’Académie de Bordeaux) |
Eric Picholle (INPHYNI, CNRS/Université Côte d’Azur) |
REDP5 Adaptation des parcours du supérieurs aux nouveaux bacheliers en physique |
Alexandre Merlen (IM2NP, Université de Toulon) et Estelle Blanquet (LACES, INSPE de l’Académie de Bordeaux) |